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Homélie du 2ème dimanche du Carême

Abbé Jean Compazieu | 8 mars 2014

 

Suivre Jésus sur la montagne

 

 

Textes bibliques : Lire

Les textes de la Parole de Dieu de ce jour sont là pour nous aider à mieux entrer dans l’esprit du Carême. Ce n’est pas d’abord un temps de pénitence et de mortifications austères. Ce qui est premier c’est la rencontre avec Dieu. Il nous appelle tous à lui et il attend de chacun de nous une réponse libre et aimante.

C’est ce qui s’est passé avec Abraham (1ère lecture). Dieu l’a appelé à quitter son pays et sa famille. Abraham s’est mis en route. Il a fait confiance à la parole de Dieu. Vivre le Carême c’est sortir de notre petite vie tranquille, c’est nous nourrir chaque jour de l’Evangile, c’est suivre le Seigneur sur des chemins que nous n’avions pas prévus. Ce qui est extraordinaire, c’est que Dieu a un grand désir de nous combler de ses bénédictions.

La lettre de saint Paul à Timothée rejoint le texte de la Genèse qui vient d’être proclamé. Elle nous redit le grand projet de Dieu. Il ne souhaite rien d’autre que de déployer la bénédiction confiée à Abraham : “Notre Sauveur, le Christ Jésus, s’est manifesté en détruisant la mort et en faisant resplendir la vie.” Notre mission de  disciples c’est d’annoncer cette bonne nouvelle partout et à tous. Dieu nous appelle tous à être ses collaborateurs à son projet de Salut.

L’Evangile nous rapporte le récit de la Transfiguration du Seigneur. Jésus conduit trois de ses disciples sur la montagne pour leur laisser entrevoir la beauté de sa divinité. Nous nous rappelons qu’un jour, il avait dit : “Je suis la Lumière du monde.” Aujourd’hui, il laisse transparaître  devant ses disciples un peu de cette lumière qui est en lui. C’est important car quelques jours plus tard, ils verront son visage défiguré. Il fallait les affermir dans la foi.

Cet Evangile de la Transfiguration nous décrit ce qui se passe le dimanche à la messe. Après six jours de travail, Jésus nous réunit et nous conduit dans un lieu “élevé”. C’est important pour nous : nous avons tous besoin de nous élever. Il ne s’agit pas pour nous de fuir le monde ou de nous évader. Si le Christ nous appelle à lui, c’est pour nous faire contempler “les choses du ciel”. Cette rencontre c’est quelque chose d’extraordinaire car elle donne une orientation nouvelle à notre vie.

Dans l’Evangile de ce jour, nous lisons que Jésus prend avec lui trois de ses disciples. En réalité, son grand désir c’est de les prendre tous. Dans l’Evangile de saint Jean, ce désir se transforme en prière : “Père, ceux que tu m’as donnés, je veux que là où je suis, eux aussi soient avec moi, afin qu’ils contemplent la gloire que tu m’as donnée” (Jn 17. 24).  C’est exactement ce qui se passe sur le mont Tabor. Et c’est aussi ce qui se passe au cours de la messe. Ce rendez-vous avec le Christ est un événement qu’il  ne faut surtout pas manquer.

L’apôtre Pierre aurait aimé rester là en compagnie de Jésus, Moïse et Elie. Mais il est interrompu par la voix qui vient de la nuée : “Celui-ci est mon Fils bien aimé qui a toute ma faveur. Ecoutez-le”. Cette voix s’adresse aussi à nous : Ecoutez l’Evangile ; c’est la parole la plus précieuse, la plus explicite et la plus lumineuse que le Seigneur nous a donnée. Suite à cette parole, les apôtres se sont trouvés plongés dans une aventure plus sérieuse et plus profonde que ce qu’ils avaient imaginé.

Il en est de même pour nous avec l’Evangile. Si nous l’accueillons, nous seront entraînés dans une nouvelle aventure. Elle sera bien plus belle et bien plus grande que tout ce que tout ce à quoi nous pouvions nous attendre. Avec lui, notre vie peut devenir plus belle et plus lumineuse. Nous ne devons pas avoir peur. Le visage de Jésus transfigure les cœurs et le monde. Il reste avec nous tous les jours. Pour vraiment changer notre vie, c’est lui qu’il nous faut écouter. Il a vaincu la mort et a fait resplendir la vie. C’est une lumière d’amour qui illumine nos yeux. C’est aussi une lumière qui se transmet. Avec l’amour, tout grandit et se pare de couleurs.

Tout au long de ce Carême, le Seigneur nous appelle à gravir la montagne et à nous approcher de lui. Nous devons prendre au sérieux l’appel que le Père nous adresse : “Ecoutez-le”. Des propositions sont faites dans les paroisses pour nous aider à être plus attentifs à la Parole de Dieu. Soyons tous unis dans une même prière : Donne-nous de contempler ton visage dans le mystère Eucharistique et de repartir le visage rempli de lumière pour éclairer les détails de notre vie. Aide-nous aussi à te découvrir dans le visage des frères et sœurs que tu mets sur notre route. Amen

Sources : Revues Signes et Feu Nouveau – La Parole de Dieu pour chaque jour de 2014 (V. Paglia) – Au cœur de l’Eglise (P. Chauvet) – Dossiers parsonnels.

Réflexions et vidéos sur le carême sur le site Notre Dame de la Paix

Avec le CCFD Terre Solidaire : Télécharger ici

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Ecoutez, Lumière, suivre, Tranfiguration
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5 commentaires pour “Homélie du 2ème dimanche du Carême”

  1. Abbé Jean Compazieu dit :
    9 mars 2014 à 17:34

    Nous pensons à l’Eglise de Jésus Christ  si souvent défigurée par le péché de ses membres…
    Notre monde défiguré par les guerres, la violence, la course au profit, la drogue, l’alccol, les paroles qui font mal…

    Mais aussi…
    Ceux qui témoignent de l’amour qui est en Dieu
    Ceux et celles qui s’engagent au service des plus pauvres, des isolés
    Ceux et celles qui redonnent la joie et le sourire
    Le Seigneur a besoin de chacun de nous pour continuer à transfigurer le monde

     

  2. Abbé Jean Compazieu dit :
    9 mars 2014 à 20:41

    Une vie transfigurée

    Henriette a perdu son mari, il y a quelques mois. Elle n’arrive pas à s’en consoler, pleure et vit avec son chagrin.

    Un jour, une amie l’emmène avec elle dans une maison de retraite pour personnes âgées, Henriette les voit seuls, tristes et souvent malades.

    Alors, elle réagit et elle se dit : « Je suis jeune et en bonne santé.» Les visages qu’elle rencontre n’ont plus envie de rire. Soudain, elle pense à son mari défunt, illusionniste et un peu clown. Et la voilà qui refait un tour de magie que son mari lui a appris ; elle en essaie un autre, et un autre encore.

    Henriette retourne dans « sa » maison de retraite et commence timidement à amuser « ses » pensionnaires qui la regardent étonnés, puis souriants. Elle y est revenue bien des fois, puis dans une autre, puis dans un lieu où se réunissent souvent des gens très pauvres : le Bistrot des Petits Frères des Pauvres.

    Henriette passe son temps à émerveiller les autres, , les étonner, les faire rire, leur faire oublier un instant leurs misères. Elle a retrouvé la joie de vivre en amusant les autres.
    (Bel exemple cité à la télévision)

    °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
     

    Seigneur, tu nous as dit :

    « Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement ». Mt 10. 8 Merci

     

  3. Christiane COFFY dit :
    10 mars 2014 à 6:21

    Merci pour le magnifique témoignage de Henriette. Je vais prendre exemple sur elle et m’impliquer davantage dans ma famille car la voir heureuse me rend heureuse.

    Seigneur, je suis fusionnelle avec toi en ce moment car tu me comblesde bénédictions. J’espère aussi de tout coeur que mon carême continuera à bien se dérouler. Je veux que chaque jour me transfigure un peu plus à ton image. Bonne semaine à tous.

  4. Père Raphaël D dit :
    10 mars 2014 à 19:41

    SON VISAGE QUI EST LUMIERE SUR LA CROIX

     

    Dès sa vocation reçue au baptême, Jésus s’est enfoncé dans une longue retraite afin d’y décider les grands axes de la mission reçue de son Père. Rejetant les suggestions habiles mais perverses, il a opté pour le primat de la prière, le rejet du merveilleux, le refus de la violence et, tout seul, pauvre, sans moyens, il s’est mis à circuler à travers son district de Galilée, proclamant que Dieu vient inaugurer son règne de douceur et de fraternité, qu’il importe donc de modifier ses comportements et de croire cette Bonne Nouvelle. En outre il a guéri quelques malades et handicapés.

    Quelles ont été les réactions devant cette manifestation inattendue ? Les foules se pressaient pour écouter ce remarquable prédicateur qui semblait annoncer la libération prochaine à un peuple opprimé. Mais surtout on venait implorer des guérisons et assister à des miracles (« L’important, c’est la santé, n’est-ce pas ? »). Quant à obéir à l’injonction de la conversion et du changement nécessaire, il en était beaucoup moins question : on attendait un bonheur sur un plateau, sans effort.

    Mais d’autre part Jésus se heurtait à la résistance farouche des pharisiens et des scribes, modèles de piété et de connaissance des Ecritures : « Pour qui se prend ce Galiléen inconnu ? De quel droit parle-t-il de la sorte ? Ses prétendues guérisons ne sont-elles pas l’effet d’une magie diabolique ? »

    Les mois passent et Jésus rencontre toujours les mêmes réactions : d’un côté acclamations superficielles et demandes de santé, de l’autre opposition rageuse. Que faire ? Il prend alors sa seconde décision capitale, celle qui va désarçonner complètement ses disciples : « Jésus commença à montrer qu’il lui fallait aller à Jérusalem, souffrir beaucoup de la part des autorités et ressusciter ». Et à nouveau il fait la rencontre du diable en la personne du premier de ses disciples, Simon-Pierre, qui veut lui barrer la route. Mais il le rejette avec violence : « Arrière satan ! » (16, 21-23) et il annonce le seul chemin pour rester disciple : renoncer à son égoïsme, prendre sa croix et le suivre.

    A ce moment, Matthieu poursuit son récit par l’évangile de ce dimanche en enchaînant par une notation chronologique importante mais qui est supprimée dans la lecture liturgique : « 6 jours après ».

     

    JESUS TRANSFIGURÉ

     

    Six jours après, Jésus prend avec lui Pierre, Jacques et Jean son frère, et il les emmène à l’écart, sur une haute montagne. Il fut transfiguré devant eux ; son visage devint brillant comme le soleil, et ses vêtements, blancs comme la lumière.

    Annonce de la Passion et Transfiguration sont donc intimement liées : c’est à cause de la première que la seconde a lieu. L’illumination que connaît Jésus n’est pas une extase gratuite, un phénomène miraculeux qui survient tout à coup à un mystique comme une récompense. C’est parce que Jésus vient de consentir à aller jusqu’au bout de sa mission, que le Père confirme sa décision et lui offre un gage de son issue lumineuse.

    Lorsque Jésus a accepté et annoncé sa passion inéluctable, son visage devait être livide en imaginant l’horreur de la croix et en réalisant que c’était ses propres frères qui allaient le précipiter dans cet abîme. « Six jours après », son Père lui manifeste son amour : il n’arrêtera pas la haine des hommes mais son « Fils bien-aimé », anéanti et jeté dans les ténèbres, resurgira dans la lumière divine.

    Le Visage transfiguré sur la montagne apparaît en surimpression sur la pauvre Face ensanglantée du Golgotha. Moment fugitif que les 3 apôtres interpréteront plus tard : le Serviteur rejeté et tuméfié est bien le Seigneur de Gloire.

    L’effet de clarté sur la face et le vêtement est fortement accentué pour montrer que Jésus a une condition infiniment supérieure à celle de Moïse qui, à la réception de la Loi sur le Sinaï, avait un visage rayonnant (Ex 34, 29)

     

    NE PAS CONSTRUIRE UNE MAISON POUR DIEU MAIS ÊTRE SA DEMEURE

     

    Voici que leur apparurent Moïse et Élie, qui s’entretenaient avec lui.

    Le Législateur qui avait donné la Loi fondamentale et le Prophète véhément, champion de la lutte contre les idoles, reconnaissent Jésus comme l’aboutissement de leur itinéraire et ils l’approuvent. Nous, nous avons utilisé la force pour imposer nos vues, constituer un peuple à part des autres et supprimer les ennemis : Toi, tu viens dans la douceur, tu es rempli d’Esprit, tu accomplis la Loi, tu donnes ta vie et apporte à tous les hommes l’Amour de Dieu qui est ton Père.- et leur Père miséricordieux.

     

    Pierre alors prit la parole et dit à Jésus : « Seigneur, il est bon que nous soyons ici ! Si tu le veux, je vais dresser ici trois tentes, une pour toi, une pour Moïse, et une pour Élie ». Il parlait encore, lorsqu’une nuée lumineuse les couvrit de son ombre, et voici que, de la nuée, une voix disait : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui je trouve ma joie : écoutez-le ! » Quand ils entendirent cela, les disciples tombèrent face contre terre et furent saisis d’une grande crainte. Jésus s’approcha, les toucha et leur dit : « Relevez-vous et soyez sans crainte ! » Levant les yeux, ils ne virent plus personne, sinon lui, Jésus, seul. En descendant de la montagne, Jésus leur donna cet ordre : « Ne parlez de cette vision à personne, avant que le Fils de l’homme soit ressuscité d’entre les morts. »

    Au Sinaï, seul Moïse avait eu un contact direct avec Dieu, seul il avait le visage rayonnant et il était descendu avec l’ordre de Dieu de lever une contribution chez tous les fils d’Israël : « Ils me feront un sanctuaire et je demeurerai parmi eux » (Ex 24, 8).

    Lorsque Jésus est glorifié, c’est l’inverse : Dieu lui-même, par son Esprit (symbolisé par la Nuée), vient recouvrir et rassembler tous les disciples, gratuitement, dans l’unité de son amour. En effet si, à la Transfiguration, cette expérience est réservée aux 3 grands apôtres, elle est destinée à être vécue par tous les disciples de Jésus à travers tous les temps.

     

    Simon-Pierre qui voulait « un christianisme sans croix », comme dit notre pape François, tombe dans une série de fautes :

    –    il sépare Moïse, Elie et Jésus, c.à.d. la Loi, les Prophètes et l’Evangile, c.à.d. la Loi et la Bonne Nouvelle, c.à.d. Israël et l’Eglise  – alors qu’il n’y a qu’une seule Révélation progressive ;

    –    il croit honorer Jésus en l’enfermant dans un sanctuaire (un tabernacle) – alors que le Fils du Père veut demeurer dans la vie et les maisons de tous ses frères ;

    –   comme ses successeurs Pontifes, il projette de dresser des édifices sacrés, des églises – alors que Dieu veut constituer une Eglise, communauté universelle des peuples (car il est plus facile de bâtir une cathédrale que de s’accueillir les uns les autres dans une communauté vivante)

    –   il rêve de prolonger son bonheur en arrêtant le temps, en se réfugiant dans la bulle d’une piété désincarnée – alors que la lumière de la contemplation n’est offerte que pour oser redescendre dans la vie ordinaire et s’élancer au risque de la croix.

     

    Le Père répète, cette fois à l’intention des apôtres, ce qu’il avait murmuré à Jésus lors de son baptême : « Jésus est mon Fils (le messie du psaume 2, 7) bien-aimé (comme Isaac en Gen 22, le fils voué à la mort mais épargné),  « celui qu’il m’a plu de choisir » (le Serviteur de Is 42, 1).

    Mais  ici il ajoute : « ECOUTEZ-LE ». Or Jésus est silencieux depuis le début de la scène ! Donc cette exhortation ne peut que renvoyer à l’enseignement qu’il a donné « 6 jours avant » : je donnerai ma vie et vous aussi, si vous me suivez. Cette révélation, qui avait scandalisé les disciples, et notamment Pierre qui s’y était violemment opposé, est tout à fait exacte et nécessaire: faites confiance à mon Fils, obéissez-lui, suivez-le sur le chemin qui, par la croix, conduit à la Gloire éternelle.

    Voix du Père, Nuée englobante de l’Esprit et, au centre, Jésus, le Fils bien-aimé, unissant peuple de l’Ancienne Alliance et Eglise de la Nouvelle : la scène majestueuse manifeste le mystère de Dieu Trinité et celui de l’Eglise assumée dans la Lumière  divine.

    Entrevoir aujourd’hui le Visage lumineux de Jésus nous permet de continuer à le suivre en ce carême, image de notre vie : oser aller vers le vendredi du Golgotha pour passer dans la Lumière de Pâques.

     

    Raphaël D

  5. Morseau Michèle dit :
    16 mars 2014 à 10:12

    magnifique méditation!  c’est un vrai message de vie dans le Christ qui m’accompagnera tout au long du Carême . Un tout grand merci.

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